Impasse
sur le rapport de force asymétrique du patriarcat. Entraînent
diverses conséquences dont une ignorance de la situation des
personnes trans (victime de l’eugénisme que l’auteur pense par
ailleurs dénoncer1),
un tribunal des féminismes depuis une position d’homme qui ne
questionne pas sa propre position, une réduction des demandeurs de
PMA a une jérémiade d’une bourgeoisie stérile, et un fantasme de
la puissance des mouvements LGBT2.
Il ne laisse
apparaître aucune
compassion sur les
difficultés de ces
personnes3,
et s’il évoque les conditions d’un prolétariat féminin en
Inde, cela apparaît avant tout pour culpabiliser « la
gauche » sur sa position « PRO-PMA » (tout
en faisant de leurs
conditions de travail
inquiétante une généralisation inévitable sur cette technique).
Participation
a une logique confusionniste.
En n’hésitant pas comme
PMO à
conseiller des auteurs de Droite sans plus de précaution tant qu’ils
critiquent les techniques4.
En affirmant que la gauche
se bat pour « la marchandisation du vivant.5 »
alors que les critiques apparaissent dès le séquençage de l’ADN
humain6,
en réduisant cette dernière a la classe dirigeante et ses
lieutenants7,
en affichant une tendance malthusienne ambigu8,
en pointant un famillialisme positif alors qu’elle est un lieu des
premiers lieu de violence9.
Il rejoint une croyance a la mode selon laquelle le libéralisme est
un progressisme (donc de gauche) alors qu’il est un objectivisme
(c’est-à-dire que s’il donne l’impression de rejoindre des
positions progressistes ce n’est qu’a conditions qu’il les
transforme en vecteur de la marchandise).
Hiérarchisation
ou autoritarisme des luttes. L’auteur oppose différentes
luttes les unes aux autres (écologie et PMA notamment10),
et distinguent des luttes dignes11.
Il croit (indiqué en conférence-débat) que sans lui et son angle
polémique, personne ne débattrai aujourd’hui du sujet (justifiant
ainsi la logique publicitaire, selon laquelle il n’y a pas de
« mauvaise publicité » tant qu’on parle du sujet12),
et qu’une hiérarchisation personnelle des luttes, justifie qu’il
puisse indiquer politiquement (c’est-à-dire autoritairement)
qu’elle devrait être cette hiérarchie aux autres13.
Par ailleurs il pense vraiment que la lutte contre la technique est
plus importante (argument : elle serait plus difficile) que
d’autres luttes.
Enfin,
il relaie un catastrophisme en extrapolant les pratiques de certains
pays dans certaines entreprises (ou la PMA est traité comme une
marchandise et permet l’eugénisme) à l’ensemble des autres
pratiques14.
C’est confondre le possible et le nécessaire15.
Le
capitalisme, science, techniques et émancipation.
La science peut-être entendue sous différents sens et pas seulement
celui de la production industrielle capitaliste. Aujourd’hui les
volontés capitalistes, dirigent
de grand groupes
industriels et enrôles des scientifiques dans leur développement.
Escudéro semble opposé de manière manichéenne, comme une grande
part du mouvement « anti-industriel » d’un côté
l’industrie et de l’autre l’artisanat. Mais ce n’est pas
automatique.
La
science est une démarche qui ne requiert pas systématiquement des
rapports d’autorité (sauf
celui de la reconnaissance de la vérité),
et son expertise peut-être mise
au service d’autres idées pour peu
qu’elle soit repensée
radicalement.
De
même qu’il peut exister une sorte de science du trafic routier…
qui ne sert que ceux qui ont une voiture, il n’est pas exclu que
puisse exister une science du trafic cycliste qui serai aussi utile a
ceux qui utilisent des vélos. Il ne s’agit pas de rejouer la
science prolétarienne ou l’une serai vrai, et l’autre fausse.
Les deux vérité sont juste, c’est qu’il y en a une qui est
utile a certains, et une autre a d’autres. C’est une question
d’orientation de la recherche.
L’artisanat ne doit pas être
idéalisé, les patrons qui y agissent ont encore le même pouvoir
qu’ailleurs.
Une coopérative de
travailleurs, produisant artisanalement ou industriellement pose
t’elle problème a partir du moment ou elle répond aux besoins de
la population humaine et prendrai soins de l’ensemble des vivants
et de leurs conditions de vie ? Sur la question d’une boussole
permettant de faire le tri entre les bonnes techniques et les
mauvaises, en conférence, l’auteur évoque Ivan Illich et sa
théorie des seuils (repris aujourd’hui par Jean Pierre
Dupuy) : passé un certains seuils une technique finie par se
retourner contre son usage d’origine : la médecine rend
malade, la voiture nous fait ralentir, l’éducation abêtit etc. Un
des mécanismes pointé est le monopole radical : les techniques
hétéronomes (celles issus d’une institution, d’une hiérarchie)
finissent par empêcher l’autonomie des individus. Le problème
c’est que cette critique de la technique est de type culturelle et
non politique (Illich est plus un chrétien qu’un politicien).
D’autres outils pour critiquer, faire le tri, existe, en termes de
critères (et l’auteur ne semble même pas les connaître), il
suffit de se poser les bonnes questions, quand elles ne sont pas
imposées de manière autoritaire et ne pose pas de problèmes
sanitaire, et que les conséquences ont été choisis par ceux qui
les vivrons : es-ce que cela peut-être produit, réparé et
entretenu sur place ? (avec les matériaux et savoir-faire s
locaux) Ces connaissances sont-elle facile d’accès ? Combien
de temps dure ces matériaux ? Sont-ils renouvelables ?
Etc. Le problème n’est pas tant une recherche « d’autonomie »
ou « d’émancipation » etc. qui sont souvent des mots
ceux, mais plutôt quelle dépendance accepte t’ont ? Et pour
bien les choisir, les identifier et connaître leurs effets16.
Les
rapports informels ne sont pas non plus la panacée, la possibilité
de se « féconder » par le moyen du « pot de
yaourt » par exemple
est
non seulement illégale, mais permet
actuellement encore la réclamation par un père d’un
enfant d’un couple homoparental.
Rappelons
aussi l’aspect gênant ;
les situations délicates, voire humiliantes ou dangereuses que cela
peut entraîner pour des femmes cherchant un donneur dans leur
« entourage ». L’expertise
que l’auteur semble vouloir éviter n’est pas mobilisée qu’a
travers la science, mais aussi la justice17.
En
critiquant quelques techniques mise a son service par le capitalisme,
l’auteur critique les conséquences mais non le mouvement
d’ensemble18.
Il ne faut pas nier toutefois certains aboutissements logiques
intrinsèquement capitalistes comme l’idéologie du transhumanisme
et la production de nanotechnologie (à l’heure actuelle). Mais
même dans ces cas, il faut voir ou se situe le rapport de force, et
savoir distinguer la classe dirigeante, les patrons, les
actionnaires, des opprimés, des précaires et de ceux qui essayent
de survivre aux difficultés que leur oppose la maladie et les
accidents.
Je
voudrais remercier en particulier Aude Vidal, dont les réflexions
sur les conditions des femmes m’ont largement appris sur les
difficultés du sujet.
Notes :
1La
stérilisation
est
encore nécessaire en France et ailleurs pour
pouvoir changer de sexe social. Dans de nombreux pays être trans
est considéré comme une maladie
mentale.
2
L’idée d’un lobby LGBT
capable « d’imposer » l’extension du droit à la
PMA (Chap. 1 :
« des collectifs et associations LGBT (Lesbiennes, gays, bi
et trans) imposent
dans le brouhaha l’extension du droit à la procréation
médicalement assistée (PMA) aux couples de lesbiennes. »).
Pour se faire une idée de la « puissance » de ces
groupes… en 30 ans :
_l’obtention d’un PACS qui n’a jamais
répondu aux aspirations des homosexuels et qui est destiné à
l’ensemble de la population,
_Une loi contre la discrimination,
_Un espoir d’égalité, avec l’ouverture
du mariage et de l’adoption pour les couples de même sexe qui
devait voir le jour au premier semestre 2013… et qui est encore
remis en cause fin 2014.
Ils ont tout de même certains représentants
associatifs demandés lors d’établissement de législations, mais
leur avis est strictement indicatif. Concernant la médiatisation :
les voix religieuses sont automatiquement représentées dans les
comité de bio-éthique, là ou celle des LGBT ne l’est pas.
Enfin concernant cette idée de puissance, il
faut aussi rappeler que c’est souvent plutôt le bénévolat qui
caractérise ces associations, plutôt qu’une manne financière
d’une commune, département, région etc. Un critère tout de même
essentiel pour pouvoir parler de « lobby » qui serait
comparable a ceux des grosses industrie du tabac par exemple.
3Notamment
vis-a-vis des
femmes qui auraient des problèmes de fertilité et qui auraient
besoin d’assistances médicales spécifiques. Il
présuppose
entre
autre,
que des femmes recourent a la PMA… parcequ’il y aurai un manque
de partenaires disponible : « Plutôt
que de s’inquiéter du déficit de naissances masculines, elle
préfère réclamer le droit pour les femmes célibataires de
recourir à la PMA. Un moyen commode de combler le manque de
partenaires disponibles. »
4Hervé
le Meur indiqué comme auteur a débattre sur la PMA, sans plus de
précaution, si ce n’est sur la question de nature, est clairement
de droite.
5« Comme
vous le savez, un tel centre de promotion de la reproduction
artificielle de l’humain n’existerait pas sans le soutien de nos
partenaires et bienfaiteurs. Vous trouverez en sortant sur votre
droite une petite boîte destinée à recueillir vos dons. Ils
seront intégralement reversés à des organisations progressistes,
toutes tendances confondues, en remerciement de leur combat pour la
marchandisation du vivant. Un combat qui a rendu possible années
après années, la mise en place d’un véritable marché de
l’enfant. Merci de votre soutien. »
6Aujourd’hui
cette critique est dépassée puisque au-delà on trouve aujourd’hui
la brevetage d’atomes. Avec un enjeu concurrentiel entre les
entreprises pour trouver les atomes clefs qui servirai au plus grand
nombre de combinaisons nanotechnologique dont les entreprises
pourrait tirer profit. Sur ces critiques ETC Group est en avance
depuis des années.
7Une
citation d’un multimillionaire au PS et co-propriétaire du Monde,
une ministre du PS, un éthicien qui n’a jamais caché son
libéralisme ? C’est donc ça la gauche ? Ce dernier
évidemment parle du travailleur comme quelqu’un qui « loue »
ses bras et ce serait une bonne chose. Autrement dit, il n’est
même pas d’accord avec Marx qui parle dans ce cas déjà
d’exploitation. Peut-on donc le qualifier de gauche ? En fait
les gens qu’ils citent comme étant de gauche partage son illusion
selon laquelle PMA = marchandisation.
8L’idée
d’une surpopulation opposée a l’idée d’enfanter apparaît au
chapitre 4. L’auteur ne fait pas de distinctions entre les pays,
les revenus et donc au final l’impact des familles qui serait
concerné. Le problème n’est pas tant de dire que la
surpopulation va créer des problèmes (oui il y en aura), mais de
le faire sans discernement. Un enfant né aux États-Unis aura une
consommation estimée a 4 planètes, un autre né au Kénya aura une
consommation estimé a 1/2 planète. La critique non informée
revient en général a discriminer ceux qui font le plus d’enfants,
alors que ce ne sont pas ceux qui consomment le plus. Par ailleurs,
avant de faire une critique de la surpopulation (qui en général
fait tomber la culpabilité sur « l’éducation des femmes »
dans les programmes de développement) il serait peut-être
pertinent de questionner le système lui-même, son urbanisme, et sa
production qui favorise un type de consommation.
9Une
tendance très claire chez les nouveaux conservateurs (Michéa
cité au chapitre 4, pour qui
la famille serait un des
derniers lieux de résistance a la
logique marchande).
Rappelons qu’il n'est pas du
tout inscrit dans le libéralisme que les enfants ne doivent pas
travailler, ou que les femmes doivent être aussi libres que les
hommes. Si cela pousse dans ce sens « chez nous », c'est
parce qu'il y a eu des luttes, et qu'il a du s'adapter. Mais si l'on
regarde un temps soit peu à l'échelle du monde, on voit très bien
que le libéralisme-réellement-existant se satisfait tout autant
d'autres situations. Par
ailleurs si l’on réduit les violences aux questions marchandes
(par un angle marxiste) on ne voit pas d’autres types de violence
pourtant présentent dans les familles. Par ex. les viols on plus
souvent lieu dans l’entourage proche et non dans un parking sombre
avec un inconnu. Ou encore en Inde les femmes subissent des
violences certes non-marchandes, mais bien réelles sur les
exigences portées
sur elles (quand elles ne sont pas éliminées
dès la naissance).
10« On
peut réclamer la PMA et militer en faveur de la reproduction
artificielle de l’humain ou se battre contre l’industrie qui
stérilise la population. Je choisis chaque fois la seconde option.
Je ne suis pas extrémiste : je suis radical. »
11À
la radio, (Terre a Terre sur France Culture) il dira qu’il y a des
luttes dignes comme la faim dans le monde, l’accès a l’eau
potable etc. mais pas le combat pour l’accés a la PMA.
12Ou
encore, la logique de beaucoup de chercheurs en nanotechnologies :
notre recherche est intéressante car elle ouvre de nouvelles
questions, de nouveaux imaginaires, participe au savoir etc.
13Malheureusement
c’est une habitude classique en écologie. Sous couvert d’approche
holistique mettant tout le monde dans le même bateau, soudainement
tout comme avec la religion, les disparités de classes, et de
responsabilités sont évacués pour uniformiser le questionnement à
« l’espèce humaine ». La tendance réactionnaire est
particulièrement claire avec le petit texte « La nef des
fous » de Theodore J.
Kaczynski (Unabomber,
justifie la violence politique par l’usage de colis piégés
contre des informaticiens et des scientifiques, sera emprisonné
après que son frère est reconnu sa prose et ainsi pu indiquer la
cabane ou il vivait reclus) qui
ridiculisait déjà a sa manière l’émancipation des homosexuels
« à sucer des bites » pendant qu’il faudrait plutôt
se soucier d’empêcher le vaisseau collectif de foncer dans
l’âbime en coupant les machines.
14Mais
encore, si l’on appliquait cette logique jusqu’au bout, il
faudrait interdire le don d’organe, puisque ailleurs les organes
sont des marchandises. Rappelons qu’il n’y a pas que la PMA qui
permet le type de tri que crains l’auteur, l’amniosynthèse le
permet aussi.
15«
La PMA [,..], pratiquée en laboratoire, soumet les
couples à l’expertise médicale, transforme la procréation en
marchandise, place les embryons sous la coupe du biologiste et
entraîne leur sélection : l’eugénisme. C’est la PMA que
réclame la gauche et la mouvance LGBT. »
Au chapitre 3 pour faire peur : « Ce qu’on fait aux animaux, on le fait aux humains. » Nous n’avons pas encore vu une industrie permettant de manger les humains, d’élevage en ferme pour leur lait etc.
Au chapitre 3 pour faire peur : « Ce qu’on fait aux animaux, on le fait aux humains. » Nous n’avons pas encore vu une industrie permettant de manger les humains, d’élevage en ferme pour leur lait etc.
16J’ai
fait ces propositions et réflexion dans mes mémoires de
philosophie sur les nanotechnologies (2007) et le transhumanisme
(2008).
17La
question se repose d’ailleurs avec l’adoption que l’auteur
voudrait faciliter. « Pourquoi
les militants de gauche demandent-ils le droit pour les lesbiennes
de recourir à la PMA plutôt qu'à l'adoption ? »
(p.195).
J’ai
lu cette remarque, je crois de Aude V. : « Les
enfants adoptables sont très peu nombreux en France et à
l’étranger la pratique est problématique (déracinement et
néo-colonialisme, pour ne rien dire de la discrimination des
couples homo dans les pays concernés) ».
Et
à ce jour on ne peut
pas adopter
sans se soumettre a une expertise.
18Comme
si on voulait non pas critiquer, mais interdire, le Bio parce que la
grande distribution en propose, alors que le capitalisme ne voit
dans le Bio qu’une opportunité parmi d’autres de récupérer et
diversifier sa marchandise.
De même PMO publie sur internet et dans un
texte dont il est co-signataire ils n’hésitent pas a terminer en
indiquant « brisons les machines », or Internet permet
le contrôle et la propriété intellectuelle !
4 commentaires:
Joli travail de synthèse.
Il y aurait pour moi matière à discuter et à préciser plus avant, (par exemple, prendre en compte le caractère de provocation délibérée et assumée de l’ouvrage comme de la tournée qui a suivi, manifesté aussi par le genre de mépris abyssal envers les critiques dont ont fait preuve jusqu’ici ses soutiens, me semble tout de même participer de l’intelligence à la fois des rapports de force présents, comme de la profondeur des impensés théoriques et du complexe de supériorité qui semble affliger l’auteur et ceux de ses amis anti-industriels qui sont intervenus ; mais ce n’est pas le seul point).
Dans l’immédiat, il me semble bien plus important que vous ayez écrit ce résumé clair et concis des problèmes que pose l’étroitesse et l’aveuglement du point de vue « anti-industriel » tel qu’il s’est manifesté ces derniers mois, et que vous ayez mis en évidence la superficialité de la « radicalité critique » à laquelle l’auteur et ses amis ont prétendu.
Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je le relaierai depuis mon blog, en compagnie de celui d’Aude V.
Oui, je suis pas revenu sur l'aspect de la forme, cependant, le risque c'est de se retrouver avec des commentaires ou on me reprocherai un mauvais esprit, ou un procès d'intention. En règle générale pour des raisons de communication non violente, j'essaye d'appliquer le rasoir d'Hanlon, c'est à dire, ne pas partir du principe que l'auteur a de mauvaises intentions... même si des fois ça me démange.
Je ne vois pas d'inconvénient a relayé ce texte ailleurs. Et je vous remercie de votre complaisance ;)
Sur les critiques porté sur la technique en fait j'ai été assez surpris de leur niveau de pauvreté. On pourrait dire que la polémique sur la PMA n'est la que pour justifier un travail de réflexion sur la question de la technique que l'auteur veux diffuser... mais quand on lit la dite réflexion, on voit qu'elle n'est précisément pas poussée très loin. C'est donc une double perte, a la fois des polémiques clivantes pour traité un sujet qui aurait pu l'être différemment, et en même temps peu d'apport sur la question qui serai soit disant fondamentale.
http://seenthis.net/messages/324584
"Il est clair pour moi que PMO et Escudéro, ou même N&MC n’ont pas le monopole de la critique de l’industrialisme.
Ce qui est triste c’est qu’il est probable que eux, pensent qu’ils l’ont et pour d’autres qu’elle se résume a eux."
T'est vraiment un connard.
Tranbert
Ma fois. "Je ne partage pas ton avis", ou "je ne suis pas d'accord", m'aurait fait réfléchir sur ma proposition "probable". Mais bon.
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