Notes
sur « S’aider soi-même ; Une psychothérapie par la
raison » de Lucien Auger. Les éditions de l’homme.
[1974] 2004.
J’espère
que ces quelques notes servirons utilement et éviterons a
certain-e-s de faire la même erreur que moi. A savoir attendre des
conséquences physiques désastreuses (palpitation cardiaque a
minima, sensation de mort imminente)
pour s’intéresser a des questions psychologiques. J’avais
antérieurement résisté à aller voir un psy, de part le flou qui
il y a sur cette discipline et la non-scientificité de la
psychanalyse. Et aussi l’envie d’éviter de dépenser des sous
inutilement dans les charlatans du développement personnels, ou
autres coach (et de toute façon, je n’ai pas cet argent…). Par
ailleurs, je me disais : tes problèmes sont matériels, tu va
voir un psy, il va te dire quoi ? « ben en fait vous
n’allez pas bien, c’est vrai, voila, ça fera 28
euros »(hypothèse basse). Bref. Je suis resté avec mes
problèmes trop longtemps. Ne faite pas la même erreur.
Il
y a 3 bons conseils de livres que l’on peut faire : Lucien
Auger, « s’aider soi-même », le plus accessible,
rapide, au panorama large qui permettra de se sortir soi-même de
difficulté actuelles (c’est celui dont je vais traité ici). Pour
celles et ceux qui voudrait creuser plus la question, tout en restant
accessible : Christophe André, « Imparfait, libres et
heureux »,
et pour les érudits précis : Jacques Van Rillaer. « La
nouvelle gestion de soi ».
Globalement
c’est un livre très accessible qui non seulement se lit rapidement
mais a des aspects pratiques assez fulgurant. La thèse générale
basée sur des expériences scientifiques, est d’accepter que la
raison puisse, même qu’un minimum, agir sur nos émotions et nous
permettre non de les nier, mais de ne pas les exagérer, d’éviter
leur envahissement, de plutôt leur laisser une juste place. En cela
on peu voir une certaine lignée affichée avec le Stoïcisme.
La justification morale de fond, soutient le fait que chaque humain à
sa propre valeur qui ne peut-être nié ou le fruit d’un jugement
par un autre.
Le
premier chapitre peut laisser un certain froid
pour les personnes qui identifie clairement leur problème a des
causes « extérieure » comme l’absence de revenu,
d’amis, ou encore la perte d’un être chers. Cependant, on
découvre par la suite que l’enjeu n’est pas de nier ces
difficultés, mais d’obtenir un pouvoir supplémentaire : le
pouvoir sur ce que l’on pense de soi. Un pouvoir qui plus est que
l’on peu obtenir et gérer soi-même sans dépendances
supplémentaire si on l’intègre bien (l’exact inverse d’un
certain élitisme de la psychanalyse).
Car
et cela peut étonner, l’objectif du livre n’est pas de
convaincre d’aller voir un psy pour vous faire soigner, mais en
quelque sorte d’être vous-même dans la mesure du possible votre
psy. Loin de l’idée de vous « culpabiliser » ou de
vous enfermer dans des catégories négatives, il s’agit de repérer
les pensées négatives que l’on a sur soi-même et qui sont
« irréalistes ». Pourquoi « irréaliste » et
pas simplement « fausse » ? Parce qu’il ne faut
pas nier nos difficultés, faire « comme si » tout allait
bien, nier une crise d’angoisse etc. Il faut accepter ce que l’on
ressent, mais surtout ne pas en « exagérer » (bien
involontairement, c’est bien là le problème) l’ampleur et les
conséquences.
Concrètement
il peut vous arriver de mauvaise choses, et c’est notre droit
légitime de ne pas les apprécier, d’en être triste (il ne s’agit
pas de nier toute émotion), mais il faut faire attention à ne pas
rajouter a cette dépréciation de la chose, une dépréciation sur
nous même ou des sentiments inutiles car sans effets par ailleurs
sur la chose qui nous déplaît. Pour les pratiquants de la CNV
(Communication Non Violente), c’est comme se l’appliquer a
soi-même et ça peut-être assez jubilatoire (surtout quand on a
tendance a se détruire beaucoup et qu’on découvre que l’on a
une partie de la solution entre ses mains).
Évidemment
ce pouvoir a ses limites, et ne permet pas de se sortir de toutes
mauvaises situations (il ne va pas vous donner des amis, un toit, à
manger, des revenus), mais il serait dommage de l’ignorer dans la
mesure ou il peu largement réduire des problèmes réels, sur
lesquels de toute manières vous n’auriez peut-être aucune
possibilité d’agir, avec la satisfaction supplémentaire d’avoir
participé. Il faut dire d’ailleurs que pour certains l’absence
d’un jugement extérieur, même d’un psy, peut-être une manière
d’apprécier d’autant plus la méthode : personne ne jugera
vos difficultés. De plus l’auteur expose des extraits de
consultations qui sentent clairement le vécu et qui permettent de se
distancier encore avec ses résistances.
« _
[…] Ce n’est pas facile de réagir raisonnablement quand les
tracas vous tombent sur la tête.
_Je
suis bien d’accord avec toi. Ce n’est sûrement pas facile, mais
le contraire est-il plus facile, plus agréable ? Est-il
finalement plus agréable pour toi de te laisser emporter par tes
idées irréalistes ? »
Bien
sur on peu toujours fuir, s’échapper temporairement d’un de ses
problèmes, et cela peu s’avérer être une bonne solution dans
certains cas, et à court terme (par ex. juste quand vous avez besoin
de vous endormir), mais a long terme, il vaut mieux s’occuper du
problème plutôt que le laisser vous poursuivre.
Voici
le modèle général de la méthode proposée (Ch. 2) :
« 1.
Un événement se produit dans ma vie à propos duquel je me sens
troublé émotivement ;
2.
J’observe quelles idées habitent mon esprit à l’occasion de cet
événement, quelle perception j’en ai, quel jugement je porte sur
lui, quelles phrases intérieures je me répète à ce sujet ;
3.
Je compare ces idées, ces perceptions, ces jugements, ces phrases
intérieures avec la réalité,
la manière dont le monde est en
fait ;
4.
Si je constate que mes idées sont réalistes, j’en conclus que mon
trouble est fondé et il ne me reste qu’à tenter de changer
l’événement qui est l’occasion de mon trouble, ou, si cela
n’est pas possible, à l’endurer le plus patiemment possible, en
évitant de l’amplifier ou de le déformer. »
Le
déroulement des idées irréalistes que traite le livre correspond
aux travaux scientifiques publiés par le psychologue Albert Ellis
(qui a entretenu une correspondance avec Auger).
Il
peut-être intéressant pour tout pratiquant de profiter de cette
lecture non pour régler le seul problème auquel on peut-être
actuellement acculé, mais un ensemble de problèmes dont on pouvait
par ailleurs ignorer l’ampleur. Autrement dit : il est
conseiller de lire et se renseigner non pas sur la seule idée qui
semble nous concerner directement, mais de lire aussi les autres. Par
ailleurs, le principe étant facile d’accès il n’est pas exclus
qu’a terme on puisse conseiller d’autres personnes confronter
elles aussi a des difficultés.
Ces
idées, les voici brièvement exposés : (Ch. 4) Ne pas
s’enfermer dans une image de difficultés qui serait dues à notre
enfance (il ne s’agit pas de nier que notre enfance a été
difficile, mais que ensuite, on peut regarder ces difficultés non
plus comme actuelles, mais passés. Et ne pas s’enfermer en elles).
« De plus, comme la capacité de raisonner avec clarté
n’est encore que peu développée pendant l’enfance, il s’ensuit
qu’une personne risque alors davantage d’accepter naïvement des
idées et des évaluations, qu’elle rejettera peut-être en tant
qu’adulte. C’est à ce titre que l’enfance est une période
particulièrement délicate pour tout être humain. »
Le
besoin d’être aimé et l’estime de soi (Ch .5). Il
ne s’agit pas de dire que tout le monde serait mieux seul, et que
le besoin d’être aimé est inutile. Mais de montrer qu’il ne
doit pas prendre une importance maladive et que cette dernière est
souvent la résultante d’une sous estimation de soi. Pour s’en
sortir il faut adhérer a l’idée que l’on a de la valeur en
nous-même et non par les compétences que l’on est capable de
déployer… sans quoi on se sous-estime dès que l’on est pas en
situation de les exposer ou de les pratiquer. L’auteur en conclu
« qu’il est non seulement impossible, mais nuisible de
tenter de se construire une image de soi et de s’évaluer
globalement. Je peux bien essayer, et cela est tout à fait légitime,
de devenir un meilleur père de famille, un meilleur mari, un
meilleur soudeur, un meilleur joueur de football, mais je devrais me
garder de l’illusion que je deviendrai pour autant une meilleure
personne. »
Socialement
es ce que cela veut dire qu’un criminel a autant de valeur qu’un
innocent ? La question est mal posée. Il ne s’agit pas de
dire que tel ou telle personne a telle valeur, mais de se mettre
plutôt d’accord sur des actes que l’on ne veut pas voir être
commis et sur une organisation conséquente. En corrolaire, ce n’est
pas moi que l’on jugera, mais un acte que j’ai commis en fonction
d’une convention qui l’accepte ou pas.
Le
perfectionnisme (Ch. 6). Il « mène toujours qu’au
même résultat : la frustration, la déception et la
dépression ». D’autant plus que l’idée de la
perfection est elle même relative, ce qui rend d’autant plus
inutile l’intérêt de la rechercher. Globalement il s’agira de
se décrocher de la réussite de l’objectif final, de sa seule
visée, pour accepter de voir les petits progrès obtenus (ce qui ne
revient pas a nier l’horizon). On gagne ainsi deux fois : on
profite du plaisir en voyant le parcours, et en plus on se rapproche
de la réalisation d’un objectif qui nous est chers (même s’il
est possible qu’on ne l’atteind jamais, c’est mieux de s’en
être rapproché que d’avoir attendu le moment, ou l’occasion
parfaite pour agir… au risque d’agir en fait moins, voir pas).
La
culpabilisation et la haine des autres (Ch. 7). Ces pensées
représentent une perte d’énergie inutile. Chacun commet des
erreurs, et il est d’autant plus difficile de changer si on nous en
fait le reproche. On a pas envie de faire plaisir a quelqu’un qui
nous agresse. Pour qu’un changement soi possible, aussi bien en soi
que chez les autres, il faut laisser un jeu, des libertés de
manœuvre et de mouvement qui permettrons l’occasion de ces
changements. La pression risque soit d’entraîner la
culpabilisation, soit une rationalisation, sans pour autant provoquer
de « bon changement » (ce seront des changements sous la
contrainte, qui dépendrons donc de la persistance de cette
contrainte, avec le risque même pour certains de vouloir s’opposer
juste pour rappeler son existence).
Il
vaut mieux s’être mis préalablement d’accord sur ce que l’on
s’autorise et se permet en fonction d’un objectif que l’on
cherche a obtenir, plutôt que l’un décrète aux autres ce qu’ils
devraient faire, alors qu’il n’est pas directement victime
physique ou mentale de ce qu’il perçoit peut-être seul, comme un
« problème ». Remplacer le c’est ta faute, par « que
fait on » si cela arrive, et que va tu faire pour améliorer ce
que tu as engendré. Responsabilisation plutôt que culpabilisation.
Catastrophisme
(Ch. 8). « « Cette situation est insupportable.
Je ne peux pas l’accepter, c’est intolérable ; je vais en
perdre la tête ! Il faut que ça change, sinon c’en est fait
de tout bonheur pour moi. » En m’exclamant ainsi
intérieurement, je ne change rien à la situation elle-même, mais
je crée en moi une foule de sentiments de dépression et
d’agressivité. […]
Si l’événement qui vous arrive est vraiment très frustrant et
que vous ne disposez présentement d’aucun moyen pour l’éviter
ou le modifier, il ne vous reste qu’à l’accepter, sans révolte
et sans amertume, quelle que soit son injustice réelle ou apparente,
quelque pénibles que soient ses conséquences. Vous ne serez
peut-être pas capable de sourire ni de plaisanter quand la vie vous
enlèvera ce que vous avez de plus cher, mais il sera déjà bien
suffisant que vous n’aggraviez pas votre souffrance en la
magnifiant et en l’entretenant par vos pensées irréalistes et vos
regrets stériles. »
C’est toujours la faute des autres (Ch. 9). Bien que ce soit
possible, mais peu probable, il faut envisager que même dans les cas
ou cela arrive, il n’y a pas de raison d’en rajouter. Par
ailleurs, il y a des maux, ou tristesse qui sont du uniquement a
l’intérêt ou l’attention que nous portons a un jugement, et non
pas a une douleur réelle (comme quand qq.un qui vous est chers, vous
insulte). Une des difficulté de ce point c’est la non-conscience
de certaines idées irréalistes. Il peut-être utile d’examiner
toutes les obligations ou pressions que nous ressentons en nous
demandant si elle sont le résultat de loi physique ou logique.
L’angoisse, l’anxiété (Ch. 10). Pour moi, le passage le
plus important, puisque j’ai clairement ressenti les phénomènes
physiques pour commencer a m’en inquiéter… et ils sont tous sauf
agréables : gorge qui se serre, bouche qui s’assèche,
palpitation cardiaques etc. et j’en passe. Le pire étant
probablement, la sensation de mort imminente. Quand j’en ai discuté
avec d’autres personnes, j’ai découvert que certain-e-s sont
allés aux urgences plusieurs fois de suite, jusqu’à ce que l’on
accepte l’idée qu’il s’agit de crise d’angoisse ou
d’anxiété. J’ai moi même pour d’autres symptômes (perte de
la sensibilité au pieds et doigts qui s’étendaient) était passé
un I.R.M cérébral plus ou moins en urgence par ce que je pensais a
une S.E.P (Scélore En Plaque), et j’ai bien cru d’autres fois
que j’étais en train de faire une crise cardiaque a 4h du matin en
me réveillant soudainement. Tout ça parce que je pensais que ces
crises psy ne pouvait pas engendrer des phénomènes physiques aussi
fort ! Or j’avais tort.
Ces crises arrivent avec
l’accumulation de nombreuses angoisses ou anxiété qui peuvent en
d’autres occasions passés inaperçus… Jusqu’à ce que le corps
décide qu’il est temps de se protéger et se met dans une
autosurveillance de soi immodérée. Toutes les défenses sont en
marche constante, et l’on repère chaque petite choses qui
habituellement passe inaperçues et pour lesquelles ont s’inventent
les pires diagnostics (internet aidant). Comme tout ceci serait
évidemment trop simple, l’anxiété se mélange souvent au
perfectionnisme et a une mésestime de soi. Le fait de savoir que
c’est psychologique, ne doit pas mené a la recherche d’un
perfectionnisme selon lequel, alors, on va s’en sortir vite.
Parceque 1. On s’en sort pas vite, 2. Il faut accepter ce qui nous
arrive 3. On peu avoir des sensations de rechute… qui ne doivent
pas faire oublier le progrès accompli (cf. perfectionnisme) 4.
L’anxiété peu se cacher a de nombreux endroits et en avoir un peu
est normal.
D’abord il faut se demander si ce danger est réel, es ce que vous
êtes vraiment physiquement en mauvaise santé ? Si c’est le
cas, il faut s’y résigner le plus calmement possible. Sinon, il
est inutile et dangereux d’ignorer ce sentiment (même si ça peu
marcher temporairement), il faut accepter que des crises puissent
arriver.
Le sentiment de mort imminente particulièrement désagréable :
« Cela nous arrivera à tous, un jour ou l’autre, un peu
plus tôt ou un peu plus tard, d’une manière ou d’une autre. Je
ne dis pas que la mort soit une chose agréable, mais une chose aussi
normale et universelle ne saurait être horrible si ce n’est pas
une définition arbitraire ». Ou encore : « Il
ne vous reste qu’à accepter l’inévitable sans vous tourmenter
ni vous angoisser, ce qui ne contribuerait qu’à rendre plus
probable l’accident que vous voulez éviter. Pour vous calmer
autant que possible, vous pouvez vous redire qu’il est malheureux
que vous soyez forcé de courir ce risque, mais que cela fait partie
d’une vie normale, qu’il vous sert à rien de vous inquiéter
[...] »
Vous pouvez faire des exercices respiratoires pour vous calmer, en
tentant de respirer 3 fois de suite par le ventre, ou encore en vous
allongeant et en visualisant de la tête au pied chacune des parties
de votre corps comme si vous êtiez en train de le toucher avec vos
mains. Tout ces exercices mobilise l’attention.
« Il ne s’agit pas de t’encourager toi-même en te
racontant de belles histoires ou en refusant de voir en face les
aspects authentiquement difficiles de ta vie pour ne porter ton
attention que sur le positif. L’optimisme n’est pas plus efficace
que le pessimisme à la longue et il vaut mieux s’en tenir au réel,
considéré sous tous ces aspects, puisque c’est tout ce qui
existe, en fait. »
C’est
trop difficile (Ch. 11). N’attendez pas, ne cherchez pas a
éviter les situations difficiles, surtout s’il s’agit de votre
santé. Pratiquez l’auto-discipline, l’hédonisme oui, mais a
long terme, avec une connaissance réelle de ce qu’il est, a
savoir, rien d’une simple accumulation des premiers plaisirs venus,
mais bien une organisation stricte pour maximiser ceux que l’on
voudrait et en les ayants examinés sous leurs différentes qualités
(durée, impact social et environnemental, accessibilité etc.). Il
faut répéter souvent, mettre en place ses propres « garde-fous ».
L’image
du passé (Ch. 12). Une idée, une pensée est toujours-déjà du
passé. Nous pouvons nous endoctrinez nous même dans de mauvaises
idées dut a des expériences anciennes. Vous n’êtes plus l’enfant
que vous étiez.
Cela
devrait être autrement (Ch. 13). Quand qq.chose arrive et que
vous ne souhaitiez pas : 1. Et-il indispensable de s’en
soucier ? De changer cela ? 2. Si oui, vous y parviendrait
certainement mieux en agissant dans le calme, en respectant leur
objectif a eux ou en trouvant ceux que vous auriez en commun, « en
respectant leur autonomie et leur droit à mener leur vie à leur
manière » 3. « Il vous faudra forcément accepter
souvent des solutions raisonnable plutôt que des solutions parfaites
aux problèmes de la vie. Pendant que vous vous cassez la tête à
chercher la solution parfaite ou que vous déplorez de ne pas l’avoir
trouvée, vous n’appliquerez pas votre esprit à inventer les
diverses solutions possibles à votre situation et à les évaluer
objectivement en fonction de leurs avantages et de leurs
désavantages. »
C’est
trop fatigant (Ch. 14). Attendre que les choses se réalise sans
y participer n’apporte que rarement de plaisir, et essayé est très
gratifiant et peu apporter un sentiment d’accomplissement.
« Certaines personnes […]
sont presque toujours paralysées dans leur action par une peur
quelconque, la plupart du temps par la crainte de l’échec. Comme
elles croient qu’elles ne pourraient pas supporter un échec, ces
personnes s’éloignent de toute action dont le résultat n’est
pas parfaitement assuré. Comme cette assurance est presque toujours
impossible à obtenir, il s’ensuit qu’elles végètent dans une
inaction marquée. »
Par
ailleurs les études ont montré que plus que les bonnes pensées
même aux bonnes actions, ce sont en fait les bonnes actions qui
libèrent et multiplies les bonnes pensées.
Conclusion.
Pour finir le livre propose aussi quelques petits exercices pratique
pour entraîner sa réflexions a reconnaître les mauvaises idées et
a proposés des solutions. Une manière de prolonger et de réellement
faire vivre la méthode.
Notes :